Mon cheminement en radiesthésie

Après plus de 65 ans de pratique, je demeure passionné de radiesthésie ! Plus de 65 ans ???? OUI. Évidemment, durant les premières années, je ne savais pas que l’aiguille attachée par ma mère au bout d’un fil qui me permettait de savoir si l’une de mes nombreuses tantes ou une des amies de maman était enceinte d’un garçon ou d’une fille était un instrument de radiesthésie. Je trouvais tout simplement ça drôle que ça me dise la vérité en répondant à mes questions.

Vers l’âge d’environ 15 ans, je découvris un livre écrit par Mgr Édouard Jetté, évêque de Joliette, *Au seuil du subconscient*, dans lequel il raconte son expérience de 44 ans comme radiesthésiste. Je pratique alors inconsciemment durant une vingtaine d’années à arrêter le sang, soulager les migraines, atténuer les brûlures…

J’ai déjà 35 ans lorsque je trouve ma première veine d’eau à l’aide d’une petite roche attachée à un bout de ficelle et d’une branche coupée ‘tel que vu à la télé’ par mon prof du jour qui connaissait la théorie sans obtenir de résultat.

Ma réponse; 130 pieds de profondeur, 600 gallons à l’heure.  Soyons honnête, je n’y croyais rien…..sauf que, lorsque arrive le puisatier le lendemain matin, mes deux réponses étaient exactes.

Suite à plusieurs autres recherches concluantes et exactes, je devrai attendre au début des années 2000 pour enfin rencontrer mon premier sourcier lors d’un congrès de l’Association des Sourciers à la Maison des Jésuites de St-Jérôme.

N’ayant pas beaucoup à apprendre dans ce domaine après tant d’années de pratique, je demande si je pourrais organiser une table ronde ayant comme thème la radiesthésie thérapeutique. Surprise! on me donne la permission pour le samedi soir.  Deuxième surprise : 23 personnes se présentent.  Sans le savoir, mon ami Martin Paquet venait de réveiller en moi la flamme d’une passion qui n’a cessé depuis.

Après deux années de pratique sur une base régulière je pars passer l’hiver au Mexique. Sans m’en douter, ma réputation m’a devancée et on me demande de donner une conférence au Club Rotario et ensuite à un Club d’Hommes d’affaires et Professionnels où l’un des 5 médecins présents enseignait  la recherche médicale à l’Université de Mexico depuis 30 ans.

Tout en me félicitant pour mon exposé il m’avoue qu’il a de la difficulté à y croire mais aussi qu’il doit garder l’esprit ouvert.  ‘Je pense la même chose que vous, ne vous en faites pas ’ fût ma réponse. Il m’invite donc à tenter de le guérir d’un problème qu’il endure depuis 20 ans et que des dizaines de médecins n’ont pu réussir à guérir. ‘Je ne peux rien garantir mais si mon ‘Boss’ est de bonne humeur ça va fonctionner ’ lui dis-je.

Une heure plus tard il était guéri et 10 ans plus tard, cette année même, tout fonctionne encore.

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